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Formation & Emplois

 

 

En 25 ans la France a perdu 25% de ses emplois industriels  tous secteurs confondus, soit 800 emplois par jour !  L’emballage léger n’a pas été en reste … mais ce phénomène pourrait s’inverser et  le bois retrouvera sa place. Oui, de belles perspectives d’emploi dans l’emballage léger en bois : pourquoi ?

Car l’emballage léger qui représente 1500 emplois directs, 3000 emplois indirects, est pour aujourd’hui et surtout pour demain puisque matériaux fossiles et en particulier le plastique vont  décliner, voire disparaître pour les utilisations où ils seront remplaçables, et les industries liés à des matériaux renouvelables vont prospérer (bois, mais aussi bio plastiques tant que ceux-ci n’utiliseront pas des surfaces agricoles).

Aujourd’hui on ne jure que par le plastique et le gaspillage, mais demain ? Une économie vraiment économe et durable, une économie où les transports internationaux deviendront de plus en plus coûteux donc réorientés « locales » et là aussi le bois est  gagnant.

Voilà pourquoi, l’optimisme est de mise, voilà pourquoi la filière travaille sur la formation et les métiers, et se veut attractive.

 

Offres d’emplois

Voir la liste des adhérents  

 

 

Offre de stages

Voir  liste adhérents, il faut considérer l’approche locale, la saisonnalité des produits considérés, 

N’hésitez pas à consulter le SIEL  

 

Formation initiale

Deux angles pour rejoindre la profession : l’angle « bois »  (Exemple école supérieure du bois pour la partie ingénieur, ou l’angle « emballage »  (Exemple de l’ESEPAC, ou de l’ESIEC pour la part études supérieures). Du CAP aux diplômes d’écoles d’ingénieurs, de nombreuses formations répondent aux attentes de chacun. Les jeunes qui choisissent de se former dans cette filière sont tous portés par l’attrait pour le bois et la matière. Ils s’épanouissent dans leur travail et ont envie de progresser. De nombreuses possibilités d’évolution leur sont offertes à partir d’un CAP(A), d’un bac pro, d’un BTS(A). Des passerelles, d’un diplôme à l’autre, peuvent parfois les mener jusqu’à une école d’ingénieurs. Les possibilités de promotion en interne sont également importantes. Mais les métiers sont bien sûr plus divers encore : Ingénieur, scieur, Tech de maintenance, automaticien, cariste, opérateur de ligne, chauffeur poids lourds, sérigraphe.

 

Quelques exemples :

 

Bac STI

Le bac STI spécialité génie mécanique option bois et matériaux associés permet principalement de poursuivre des études en BTS charpente couverture ; productique bois et ameublement ; systèmes constructifs bois et habitat ; agencement de l’environnement architectural.

 

Bac pro technicien de scierie

Les techniciens formés participent au fonctionnement et à la gestion des scieries, quelle que soit leur taille, et en particulier celles dont l’activité est complétée par la fabrication industrielle de produits divers (palettes, emballages, parquets, charpente rabotée…).

 

BTSA technico-commercial spécialité produits d’origine forestière

Cette formation peut compléter et enrichir la formation du BTS gestion forestière en apportant en plus la dimension commerciale (négoce et marketing).

Et aussi : certificat de spécialisation commercialisation et valorisation des produits forestiers

 

CAP conducteur-opérateur de scierie

Le titulaire de ce CAP participe à la transformation du bois brut issu de l’exploitation forestière, pour la réalisation, de produits de menuiserie, charpente, ébénisterie… Cette production industrielle amène le scieur à utiliser des machines-outils, intégrant notamment des systèmes informatisés.

 

CAP mécanicien-conducteur scieries et industries mécaniques du bois

Option A : conducteur de machines de sciage, tranchage, déroulage ; option B : mécanicien-affûteur de sciage, tranchage, déroulage. Le titulaire de ce diplôme est responsable de l’outillage, des réglages aux réparations. Il peut travailler dans les scieries, les exploitations forestières, les industries fabriquant les machines à bois, ou les entreprises d’abattage.

 

Etudes supérieures - Deux exemples : ESB et ESIEC

 

Diplôme d’ingénieurs : ESB Ecole supérieure du bois

Fondée en 1934 et membre de la Conférence des Grandes Ecoles, l’Ecole Supérieure du Bois a toujours eu pour mission de former de futurs responsables d’activités. Sa création a ainsi été portée à la fois par les professionnels du bois et par les Ministères de l’Agriculture, de l’Education Nationale et de l’Industrie.

Installée depuis 1993 à Nantes, l’Ecole Supérieure du Bois bénéficie de la deuxième plus forte concentration nationale d’industries de première et seconde transformation du matériau bois.

A ce jour, plus de 2500 anciens élèves ingénieurs de l’Ecole Supérieure du Bois participent à l’essor et à la direction des entreprises de la filière bois. Ce rayonnement s’inscrit, bien sûr, sur un plan national et international. Ce dynamisme et le souci particulier apporté à la qualité de la formation ont été à nouveau salués par la Commission des Titres des Ingénieurs, laquelle a reconduit en 2008 une accréditation de 6 ans à l’école (c’est à dire le maximum possible).

L’Ecole Supérieure du Bois forme principalement des ingénieurs, mais elle a su aussi diversifier son offre de formation par l’ouverture de 2 BTS ("développement et réalisation bois" ; Système Constructif Bois et Habitat). L’accompagnement des professionnels dans les processus de validation des acquis de l’expérience (VAE) fait aussi partie de ses priorités. Inscrite dans une démarche de Groupe, l’Ecole souhaite en effet former plusieurs types de professionnels après le niveau bac. Trois nouvelles formations de niveau Licence (Construction bois, Responsable de production et Attaché technico-commercial bois) sont ainsi ouvertes.

 

ESIEC : nouveau nom depuis sept 2011 ESIReims (Ecole Supérieure d'Ingénieur de Reims)

 

L’Ecole Supérieure d’Ingénieurs en Emballage et Conditionnement forme des ingénieurs qui ont vocation à devenir des Chefs de Projets "Packaging" et, en ce sens, cette formation de haut niveau est unique en Europe.

L’ESIEC collabore bien-sûr de façon étroite avec les entreprises à travers les stages et projets de fin d’études de ses élèves-ingénieurs, les actions de formation continue, mais aussi lors de missions d’expertise, de prestations, de transferts de technologie et de contrats de recherche.

Le métier des ingénieurs ESIEC va de la conception d’emballages ou de techniques de conditionnement à leur utilisation, dans une démarche associant les contraintes technologiques et économiques avec le développement durable.

Leur savoir-faire est donc pluridisciplinaire et couvre aussi bien les matériaux d’emballages avec les procédés de mise en œuvre associés, les machines de conditionnement, les tests et contrôles des emballages, que le comportement des systèmes d’emballage d’un point de vue chimique, biologique, physique et mécanique tout au long de la chaîne logistique jusqu’à leur fin de vie. Les ingénieurs ESIEC exercent leur fonctions au sein des services recherche et développement, bureau d’étude, achat ou production chez les fabricants d’emballages, de machines de conditionnement ou chez les utilisateurs d’emballages. Grace à la spécificité de leur formation, ils peuvent envisager une carrière dans des secteurs industriels variés comme l’agro-alimentaire, la parfumerie-cosmétique, la pharmacie, la chimie mais aussi les biens de consommation ou l’automobile.

 Les ingénieurs ESIEC sont donc des généralistes du packaging, ayant une approche globale du domaine, à même de proposer des solutions packaging optimisées et innovantes intégrant une démarche d’éco-conception.

 

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