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Bilan carbone

 

 

Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie

 

 

Témoignage

 

« Nous regardons, entre autres, l'impact positif du bois sur la maîtrise de la qualité des fruits et légumes à travers la longue chaîne logistique qui implique également des chocs thermiques. Eu égard à toute l'attention de la société civile concernant le recyclage, la consommation de l'énergie,  la défense de la nature, notre produit, le bois, possède tous les atouts pour affronter les prochaines décennies. L’ emballage bois est le plus propre au monde, il est le plus naturel, sans transformation chimique, de pure fibre végétale, il vit en osmose avec les fruits et les légumes en conservant leur fraîcheur et leurs qualités gustatives. C’est celui qui consomme le moins d’énergie, son bilan est positif. Utiliser l’emballage bois, c’est améliorer la qualité de l’air et de l’eau, c’est faire une BA pour notre planète. Tous les ans, en tant que producteurs, nous plantons des arbres. La plantation permet de capter du CO2 et la destruction finale de nos produits permet de produire de l'énergie. »

 

Source (journaliste) : « Vegetable » - Facture carbone négative donc bénéfique à l’environnement.

 

ADEME : Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (Statut : Etablissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle conjointe du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement Durable et de la Mer)

 

 

Périmètre d’étude et hypothèses…

 

 

 

 

La présente étude a été réalisée par Auxilia et co-financée par l’Ademe.

 

Le périmètre d’étude du bilan carbone® des entreprises du SIEL est celui du cycle de vie de l’emballage (depuis l’exploitation des peupleraies jusqu’à la fin de vie des produits), excepté les trois étapes d’utilisation (entre le conditionnement et jusqu’au lieu de vente).

 

En effet,

 

1. Les entreprises n’ont aucune marge de manoeuvre sur les utilisateurs pour réaliser des actions de réduction de gaz à effet de serre ;

 

2. L’information sur les kilomètres parcourus par les produits n’est pas du tout disponible. Une estimation engendrerait une incertitude trop importante par rapport à la très bonne qualité des données sur les autres étapes ;

 

Les entreprises étudiées constituent un échantillon très représentatif de laprofession à la fois sur le plan économique et sur la répartition géographique.

 

Dans ces conditions, il est possible de calculer un ratio moyen pour la profession indiquant la quantité de gaz à effet de gaz (en équivalent CO2) induite pour un mètre cube de bois d’emballage léger fabriqué.

 

Ce ratio va permettre de calculer la quantité de gaz à effet de serre pour différents types d’emballages représentatifs de la profession.

 

 

 

Synthèse des résultats

 

 

                             

Le résultat obtenu pour les entreprises volontaires permet de dégager un ratio moyen représentatif de la profession. Ce ratio correspond à la quantité de gaz à effet de serre en équivalent CO2 par unité de bois.

 

Il s’agit de la moyenne pondérée arithmétique où le facteur de pondération est le volume de production de chacune des entreprises.

 

Le ratio moyen : 1 000 dm3 de bois d’emballage fabriqué = 129 kg eq CO2*

 

La valorisation énergétique des connexes et produits bois permet d’économiser des énergies fossiles. Les gaz à effet de serre qui auraient été générés lors de leur combustion peuvent alors être soustraits aux gaz à effet de serre émis lors du cycle de fabrication des emballages légers en bois.

 

Les émissions évitées (18.090 tonnes eq CO2) sont équivalentes à celles émises lors du process de fabrication (19.500 tonnes eq CO2).

 

PAR CONSÉQUENT, L'IMPACT ENVIRONNEMENTALEST PRATIQUEMENT NEUTRE POUR LES EMBALLAGES LEGERS EN BOIS !

 

La communication externe de ces ratios doit impérativement être accompagnée des hypothèses précédemment citées concernant le périmètre d’étude adopté. Les industriels sont toujours soucieux de l’amélioration du bilan carbone®. La démarche est en constante évolution.

La recherche de neutralité est une solution complémentaire pour réduire son impact sur le climat ; dans ce cas, il s’agit d’un modèle économique performant et durable.